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Les parchemins soit disant trouvés par Saunière dans le pilier du maître-autel. Certaines personnes pensent qu'ils ont été rédigés vers 1950 par Philippe de Chérisey, ami de Pierre Plantard.
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Ce parchemin est une compilation des évangiles. Certaines lettres sont écrites légèrement plus hautes que les autres et délivrent ce message:
A DAGOBERT II ROI ET A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT
Le décalage des lignes est flagrant, parfois interrompu au milieu d'un mot. Ce qui permet de lire SION. Bref un codage facile, qui attire votre attention, mais vous incite à rechercher un codage plus élaboré.
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Au pied du monument une dalle de pierre scellée au
sol portant l'inscription :
O MARIE CONCUE SANS
PECHE PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS
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Pilier creux du maître
autel ou Saunière à fait graver:
PENITENCE! PENITENCE!
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Le parchemin n°2 est moins lisible. La composition est plus soignée à un détail prés , la figure dessinée en bas à droite est curieusement bâclée.
Si on retourne le document on peut lire A SION.
Huit lettres sont plus petites que les autres. Leurs juxtaposition donne : REX MUNDI (Roi du monde).
Ce parchemin reproduit la version latine dite « Vulgate ».Ce passage évoque la visite de Jésus chez Lazare à Béthanie. A vous maintenant de poursuivre le déchiffrage
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On considère l'abbé Saunière comme un personnage ayant profité d'une découverte
extraordinaire mais surveillé de très près par une société occulte. Il devient
un exécutant bien payé faisant disparaître ou mettant à l'abri toute preuve
gravée ou écrite. Commandité ou non, il livrera dit-on, sous la forme de son
église codée un étonnant message.
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Quand, aurait-il trouvé les parchemins ? En 1886 ? il faut admettre alors que l'abbé Saunière
n'a pas su immédiatement profiter de sa découverte, puisque les travaux
effectués de 1886 à 1891 ont été uniquement consacrés à la décoration de
l'église et surtout seront payés soit par une tierce personne, soit par des
traites étalées sur un grand nombre d'années. Il patienta quatorze années avant
de s'offrir la tour Magdala. 1891 est une autre année proposée pour dater la
découverte des parchemins mais là, les travaux d'embellissement de l'église
effectués entre 1886 et 1891 ne peuvent plus avoir de rapport avec ces écrits...
(Extrait d'article)
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